Depuis plus de 55 ans, nous sommes des créateurs de bonheurs partagés en tribu pour des expériences authentiques et à impact positif, dans les plus belles destinations en Europe.
Nous nous engageons, en tant qu’acteur européen du tourisme de proximité, pour que chacun redécouvre l’essentiel dans un environnement préservé. Notre métier, proche des territoires, implique des relations de confiance avec toutes nos parties prenantes.
Cette rubrique est dédiée aux relations investisseurs et aux actionnaires du Groupe et présente chiffres clés, informations sur le cours de l’action, publications, opérations de financement et calendrier financier.
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Mon expérience avec le télétravail au sein du Groupe Quand on m’a proposé d’intégrer maeva.com en 2010, j’étais déjà en télétravail depuis deux ans. J’avais travaillé à Grenoble, avant de partir me fixer dans la région de Saint-Etienne et je souhaitais continuer à travailler à 100% à distance, depuis chez moi, ce qui me convenait bien.
Concrètement, ma vie de télétravailleur ? Chez maeva.com, j’ai en charge l’intégration des offres de nos partenaires. Au sein de l’équipe informatique, je ne suis pas une exception : le responsable du Département télétravaille depuis Lyon et j’ai au moins deux collègues qui travaillent à distance, depuis chez eux ou depuis un bureau.
Avec les moyens de communication actuels, c’est très simple de monter des réunions, de s’appeler, d’échanger au sein de nos groupes de discussion. Bien sûr, on ne se retrouve pas entre collègues devant la machine à café mais on est très soudés, on forme une vraie équipe et on se voit régulièrement, une fois par mois environ, pour des réunions au siège qui sont toujours des moments conviviaux. C’est l’occasion de déjeuner ensemble et de croiser des collègues qu’on ne connaît que par messagerie.
Pour être au même rythme et pouvoir travailler ensemble, entre informaticiens mais aussi avec nos collègues des autres services, on a gardé des horaires de bureau classiques. En fait, je vis juste différemment de beaucoup de salariés : mon environnement de travail quotidien, c’est chez moi, j’y trouve tranquillité, concentration et efficacité. La ‘vie de bureau’, c’est un peu l’exception, quand je retrouve mes collègues à Paris !
“Me reconnecter à l’essentiel”, pour moi c’est… ? Rester proche de ma famille, conserver les liens avec mes parents. Le choix du télétravail participe à ça, c’est certain. D’ailleurs, quand je vois les vacanciers dans nos sites, je me rends compte que c’est vrai pour beaucoup de gens. La famille, c’est l’essentiel.
« […] Puis on m’a sollicitée pour être ambassadrice de la Fondation du Groupe. J’avais toujours eu cette envie de me relier à une association et là, ça devenait possible dans le cadre de l’entreprise. »
« Mon engagement dans mon travail est total mais j’ai la liberté de pouvoir déconnecter complètement et je peux le faire parce que j’évolue, […] dans un cadre de confiance. »
« C’est une véritable marque de confiance et c’est également très valorisant que l’on vienne vous chercher en interne pour un poste auquel vous ne pensiez pas. »
« En démarrant ici comme réceptionniste, j’ai vu tous les niveaux du fonctionnement de l’hôtel. […] Le travail de chacun d’entre nous fait le succès de ce site. »
« Si maeva est en pleine croissance, nous fonctionnons encore comme une petite structure : tout le monde se connaît, on travaille en proximité et de façon flexible »
« J’ai beaucoup de liberté et d’autonomie pour développer et gérer les pays dont je suis responsable. […] Ce que j’aime ici, c’est l’esprit d’équipe. Si vous avez besoin d’un soutien, vous l’avez. »
« Concrètement, sans nos équipes, on ne fait rien. C’est donc très important de soutenir ses équipes en étant proche d’eux et sur le terrain. »
« Apporter de la joie, c’est notre métier. Mais ce qu’on fait pour ces familles en difficulté, c’est très fort. »
« Aujourd’hui, la Mission Handicap est très active et très présente dans l’entreprise et grâce à elle je me sens protégée, accompagnée. »
« A mon retour de congé maternité, j’ai même eu le choix entre deux postes. J’avais envie d’évoluer et envie aussi d’un autre rythme, de ne pas travailler le week-end, notamment, pour profiter de ma fille. »
